Couverture de code java

La couverture de code (en anglais code coverage) est une mesure utilisée en génie logiciel pour décrire le taux de code source testé d'un programme. Ceci permet de mesurer la qualité des tests effectués.

Car plus un programme est bien testé, moins il est soumis aux bugs.


La mesure de ce taux implique souvent l'utilisation de tests unitaires.


Il y a de nombreuses méthodes pour mesurer la couverture de code, Les principales sont :
  • Couverture des fonctions (Function coverage) - Chaque fonction dans le programme ont-elles été appelée?
  • Couverture des instructions (Statement Coverage) - Chaque ligne du code a-t-elle été exécutée et vérifiée ?
  • Couverture des points de tests (Condition Coverage) - Chaque point d'évaluation (tel que le test d'une variable) a-t-il été exécuté et vérifié ? (Le point de test teste-t-il ce qu'il faut ?)
  • Couverture des chemins d'exécution (Path Coverage) - Chaque parcours possible (par exemple les 2 cas vrai et faux d'un test) a-t-il été exécuté et vérifié ?
Certaines méthodes sont liées, par exemple :
La couverture des chemins implique à la fois la couverture des instructions et la couverture des points de tests.
La couverture des instructions n'implique pas la couverture des points de tests.


Pour mieux comprendre les choses, je vais monter la différence entre Couverture des instructions (Statement Coverage), Couverture des points de tests (Branch Coverage) et Couverture des chemins d'exécution(Path Coverage).

Pour cela on va utiliser le bout de code suivant:

public int returnInput(int input, boolean condition1, boolean condition2, boolean condition3) {
  int x = input;
  int y = 0;
  if (condition1) 
    x++;
  if (condition2) 
    x--;
  if (condition3) 
    y=x;
  return y;
}

Couverture des instructions

Afin d'exécuter toutes les instructions, nous devons faire seulement un seul cas de test qui fixerait toutes les conditions à vrai, dans ce cas chaque ligne du code (déclaration) va être touché. 

shouldReturnInput(8, true, true, true) - 100% instructions couvertes.

Mais seulement la moitié des branches sont couvertes et un seul chemin.

Couverture des points de tests

Vous pouvez visualiser que chaque bloc de test "if" contient deux branches (une branche vrai et une autre fausse). Ainsi, il apparaît clairement que le cas de test ci-dessus suit seulement la branche vraie de chaque "if". Donc dans ce cas seulement 50% des branches sont couvertes. 

Afin de couvrir 100% des branches, nous aurions besoin d'ajouter le cas de test suivant: 
shouldReturnInput(8, false, false, false) Avec ces deux cas de test que nous avons fait maintenant on aura 100% des branches couvertes

Couverture des chemins d'exécution

Néanmoins, il y a encore un concept de couverture de chemin. Afin de comprendre la couverture de chemin, c'est mieux de visualiser le code ci-dessus sous la forme d'un arbre binaire:



Comme vous le voyez probablement les deux cas de test ci-dessus ne concernent que deux chemins (true, true , true) et (false, false, fasle) alors qu'en fait il y a 8 chemins distinctes:

t => true
f => false

t -t -t - couvert avec le cas de test 1
t -t -f
t -f -t
t -f -f
f -t -t
f -t -f
f -f -t
f -f -f - couvert avec le cas de test 2

Donc pour que vous auriez une couverture de chemins à 100% vous devrez remplir tous les cas possible.

HTML5 : structure globale du document



Pour débuter sereinement avec une nouvelle intégration HTML5 et comprendre ses implications, nous allons commencer par le début : la structure globale d'un document.

La conception d'une page web en suivant la philosophie du standard HTML5 spécifié par le W3C (ou du standard vivant tel que désigné par le WhatWG) répond à quelques réflexes de base. La structure d'un document (l'imbrication des balises à la racine) est simplfiiée pour répondre aux attentes pragmatiques des intégrateurs et webdesigners.


Un document HTML5 minimal
Sans surprise, les bases d'un code HTML5 ressemblent beaucoup à celles rédigées à l'aide des précédentes versions HTML 4 et XHTML 1.x. Rétro-compatibilité oblige. On y retrouve donc un doctype suivi des éléments les plus courants : <html>,<head>, <title>, <meta>, <link>, <script> et <body>.
<!doctype html>
<html lang="fr">
<head>
  <meta charset="utf-8">
  <title>Titre de la page</title>
  <link rel="stylesheet" href="style.css">
  <script src="script.js"></script>
</head>
<body>
  ...
  <!-- Le reste du contenu -->
  ...
</body>
</html>
Le doctype
La première ligne d'en-tête a été considérablement simplifiée. On peut maintenant retenir un doctype par coeur, sans avoir à le copier-coller.
<!doctype html>
Ce doctype allégé a été mûrement testé et réfléchi : il permet toujours - pour les anciens navigateurs - de rester dans le mode d'interprétation conforme aux standards et d'éviter le mode quirks. On peut remarquer qu'il n'y a pas d'allusion à un quelconque numéro de version. Son rôle est toujours de préciser quel est le type de document qui va suivre, afin de permettre au navigateur de savoir quel langage de la vaste famille SGML il devra interpréter.
L'élément racine <html>
C'est lui qui va recueillir les deux principaux éléments de la hiérarchie : <head> et<body>.

L'attribut lang (sur <html>)

On a tendance à l'oublier : l'attribut lang précise la langue utilisée pour le contenu de la page, lorsqu'il est placé sur la racine <html>.
<html lang="fr">
Une langue bien indiquée sera utile ainsi aux synthèses vocales (pour adopter le bon accent).

Les fameux <head> et <body>

À ce niveau, le code HTML peut être divisé en deux parties : l'en-tête située entre les balises <head> et </head>, qui regroupe toutes les méta-informations, c'est-à-dire les données qui ne sont pas représentées directement à l'écran dans le rendu du document, mais qui lui sont tout de même liées : le titre dans <title> (extrêmement recommandé), les autres méta-informations variées (facultatives : mots-clés, description générale de la page) dans zéro ou plusieurs <meta>, et éventuellement<link><script> ou <style>.
La deuxième partie comprend le corps à proprement parler, c'est-à-dire <body>. On y retrouvera tout le reste du contenu HTML, structuré par des balises variées - selon ce que l'on aura à y placer - et dont l'apparence sera affectée par les styles CSS chargés dans <link> et/ou <style>.
L'attribut charset (sur <meta>)
Préciser l'encodage des caractères est primordial pour exploiter la bonne page de code et ne pas se retrouver avec les caractères spéciaux ou accentués. Le choix de l'UTF-8 est désormais préconisé par le W3C pour tous les protocoles échangeant du texte sur internet (dont HTML).
<meta charset="utf-8">
On retrouvera donc très souvent ce codage de caractères, par contre il faut toujours veiller à ce que l'éditeur permettant de coder en HTML (que ce soit un IDE tout-en-un ou un simple éditeur de texte) enregistre le fichier avec le bon encodage, et non en Latin-1 (alias ISO-5589-1) ou ANSI si la balise <meta> indique UTF-8.

Veillez à toujours placer cette déclaration d'encodage avant toutes les autres balises contenues dans la section
<head>. En effet, celles-ci sont immédiatement concernées, par exemple <title> qui peut déjà faire appel à des caractères en UTF-8 ; ceci également dans un but de sécuriser l'interprétation des caractères spéciaux et prévenir les injections de contenu indésirables.
L'élément <link>
Dans la majorité des cas, une balise <link> placée dans l'en-tête permet de mettre en relation la page avec d'autres documents externes. La plupart du temps cela concerne les feuilles de style CSS externes avec une relation du type stylesheet, mais il est aussi possible de définir d'autres types de relations (par exemple avec authoriconprefetchnextprev, etc).
<link rel="stylesheet" href="style.css">
En HTML5, il n'est plus strictement obligatoire de spécifier l'attribut type.

Pour inclure directement des instructions CSS dans le document HTML sans passer par un fichier externe,
<style> est à votre service. Cependant, il vaut mieux faire confiance à un fichier indépendant : il n'y aura qu'un seul code à maintenir pour de multiples pages (voire pour tout le site), et la mise en cache par le navigateur n'en sera que plus efficace.
L'élément <script>
Cet élément permet d'ajouter des scripts (JavaScript) qui vont s'éxécuter côté client dans le navigateur dès leur chargement.
<script src="script.js"></script>  
En HTML5, il n'est plus obligatoire de spécifier l'attribut type. Celui-ci est de toute manière interprété par défaut en text/javascript par tous les navigateurs.
Les autres éléments HTML5
Une fois la structure de base préparée, il est temps de commencer à y placer d'autres éléments HTML pour le contenu à proprement parler : paragraphes, listes, liens, images, vidéos, tableaux de données, formulaires, etc. La majorité des éléments HTML sont toujours au rendez-vous dans HTML5, qui se voit complété par quelques nouveautés pour le balisage. Par exemple :
    Éléments de section <section>, <article>, <header>, <footer>, <nav> et <aside>
  • Élément <datalist>
  • Éléments <details> & <summary>
  • Éléments <figure> & <figcaption>
  • Éléments média <audio> et <video> complétés par <source>
  • Élément <canvas>
  • Éléments <meter><output> et <progress>
  • Élément <time> et <mark>
  • Et tous les autres, que l'on peut retrouver dans une liste complète maintenue par le W3C : HTML : The Markup Language
Pour rappel, tous les nouveaux éléments HTML5 ne sont pas nécessairement reconnus de façon native et cohérente par tous les navigateurs (même les plus récents). Pour certains, il sera possible de trouver des alternatives avec des compléments en JavaScript. Pour d'autres, il faudra patienter jusqu'à une implémentation totale, et évaluer le risque selon le besoin : un nouvel élément sera-t-il tout de même consultable, masqué, ou géré de façon erronée ?
Pour juger de l'état de la prise en charge par les navigateurs, fiez-vous à Caniuse.com qui dresse des tableaux de support complets, ou bien encore à HTML5Please, qui indique de façon rationnelle par rapport aux parts de marché ce qu'il est possible d'utiliser en production pour un maximum de visiteurs.

java-simpledateformat-exemples



Aujourd'hui, je veux vous montrer quelques exemples de la façon dont vous pouvez utiliser la classe SimpleDateFormat dans votre code. J'espère que certains d'entre eux seront de nouveau et surprenant!
L'exemple de base :
La première utilisation la plus basique de la classe, permet de formater l'objet Date en une chaîne simple montrant jour, le mois et l'année:
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SimpleDateFormat simpleDateFormat =
        new SimpleDateFormat("dd/MM/yy");
String dateAsString = simpleDateFormat.format(new Date());

System.out.println(dateAsString);
// Resulat: "12/11/09"
Un peu plus avancé :Évidemment, nous pouvons utiliser des format de date plus compliqués que celui là (voir SimpleDateFormat JavaDoc pour la liste complète). Nous pouvons aussi ajouter un peu de texte normal pour l'afficher avec la date, pour faire celà vous devez échapper le texte avec une apostrophe. Voici donc une façon élégante de l'impression de la date et l'heure:
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SimpleDateFormat simpleDateFormat =
        new SimpleDateFormat("hh:mm 'o''clock on' MMMM dd yyyy");
String dateAsString = simpleDateFormat.format(new Date());

System.out.println(dateAsString);
// Result: "06:49 o'clock on November 12 2009"
Maintenant, avec Locale :
SimpleDateFormat dépend aussi du local, en offrant un Locale, vous pouvez obtenir la chaîne de la date localisée pour une langue ou un pays spécifique. Voici la date en français:
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SimpleDateFormat simpleDateFormat =
        new SimpleDateFormat("dd MMMM yyyy zzzz G", Locale.FRENCH);
String dateAsString = simpleDateFormat.format(new Date());

System.out.println(dateAsString);
// Result: "12 novembre 2009 Heure du méridien de Greenwich ap. J.-C."
Parse String en Date :
Autre bonne chose sur la classe SimpleDateFormat c'est qu'il peut être utilisé non seulement pour la mise en forme, mais aussi pour convertir un String en Objet Date. Dans cet exemple, le format utilisé est exactement le même que celui retourné par la méthode Date.toString(). Dans cet exemple , nous allons essayer de convertir les chaînes créées par Data.toString() de nouveau en dates:
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// SimpleDateFormat that works exactly like Date.toString()
SimpleDateFormat simpleDateFormat =
        new SimpleDateFormat("E MMM dd HH:mm:ss zzz yyyy", Locale.ROOT);
Date today = new Date();

String dateAsString_format = simpleDateFormat.format(today);
String dateAsString_native = today.toString();
// Both strings are: "Thu Nov 12 18:49:36 GMT 2009"

Date parsedDate = simpleDateFormat.parse(dateAsString_native);
System.out.println(parsedDate.toString());
// Result: "Thu Nov 12 18:49:36 GMT 2009"
Changement du fuseau horaire par défaut :
Notez que lorsque vous convertissez une chaîne de caracteres en date, le résultat peut être ambiguë. Par exemple, la chaîne de caracteres "11h23 1 janvier 2001" est un moment différent selon où vous habitez, au Japon ou au Canada. Par défaut Java résout ce problème en utilisant votre fuseau horaire local obtenu à partir de la Locale par défaut. 

alors que le fuseau horaire ne peut pas être une partie de la chaîne de caracteres, vous pouvez le configurer manuellement au lieu d'utiliser l'un par défaut. Vous pouvez le faire avec la méthode settimezone():
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SimpleDateFormat simpleDateFormat =
        new SimpleDateFormat("dd-MM-yyyy", Locale.ENGLISH);
Date date = simpleDateFormat.parse("13-07-1999");
System.out.println(date);
// Result: "Tue Jul 13 00:00:00 GMT 1999"

simpleDateFormat.setTimeZone(TimeZone.getTimeZone("PST"));
date = simpleDateFormat.parse("13-07-1999");
System.out.println(date);
// Result: "Tue Jul 13 08:00:00 GMT 1999"
Changement du siècle :
Ambiguïté similaire se produit lors de l'analyse des dates de l'année à deux chiffres. Par exemple "01/01/59" est le jour de la nouvelle année  1959 ou 2059. Cela peut être réglée en spécifiant le siècle à l'objet SimpleDateFormat, pour être plus précis avec set2DigitYearStart () méthode, vous pouvez spécifier la période de 100 ans dans lequel la date analysée sera placé. Par défaut, la période de 100 ans est [aujourd'hui - 80 ans, aujourd'hui + 20 années]. Voir l'exemple:
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SimpleDateFormat simpleDateFormat =
        new SimpleDateFormat("dd MMMM yy", Locale.ENGLISH);
Date date = simpleDateFormat.parse("1 November 45");
System.out.println(date);
// By default the year 45 will be taken from period (current year 2009) 1929 - 2029
// Result: "Thu Nov 01 00:00:00 GMT 1945"

Date startOf19thCentury = new GregorianCalendar(1801,1,1).getTime();
Date startOf21stCentury = new GregorianCalendar(2001,1,1).getTime();

simpleDateFormat.set2DigitYearStart(startOf19thCentury);
date = simpleDateFormat.parse("1 November 45");
System.out.println(date);
// After invoking set2DigitYearStart() the period is now 1801 - 1901
// Result: "Thu Nov 01 00:00:00 GMT 1845"

simpleDateFormat.set2DigitYearStart(startOf21stCentury);
date = simpleDateFormat.parse("1 November 45");
System.out.println(date);
// This time the period is 2001 - 2101
// Result: "Thu Nov 01 00:00:00 GMT 2045"
Rendre le parsing plus stricte :
Par défaut, la méthode de parsing de SimpleDateFormat est très indulgent. Si la chaîne fournie n'est pas entièrement compatible avec le format fournit, SimpleDateFormat au lieu d'abandonner essais avec beaucoup des heuristiques difficiles à deviner quelle serait la bonne réponse. Dans de nombreuses situations ce comportement est trés souhaitable, mais si vous n'aimez pas cela, vous pouvez le désactiver. Avec la méthode setLenient (), vous pouvez faire un parsing obéissent exactement le format donnée et lève une exception si la chaîne n'est pas valide. 
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SimpleDateFormat simpleDateFormat =
        new SimpleDateFormat("dd MMMM yyyy", Locale.ENGLISH);
Date date = simpleDateFormat.parse("31 April 1999");
System.out.println(date);
// Since April has only 30 days the parser will assume
// user meant April 30th + one day = May 1st
// Result: "Sat May 01 00:00:00 GMT 1999"

// Make the parsing more strict
simpleDateFormat.setLenient(false);
// This throws java.text.ParseException: Unparseable date: "31 April 1999"
date = simpleDateFormat.parse("31 April 1999");

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